terça-feira, agosto 18, 2009

Quand le soleil brille, ses rayons sont sur ma tête; d'ailleurs, je ne suis pas comme ceux qui aiment. Le temps orageux ne rend pas le désir de la mort moins amer: l'acide sur mes mains et l'amour qui menace font ses formes sur la peau. L'eau fait un empire sous son sang. Non, il pousse et le soleil qui brille est perçant. Le désir nourrit, mange et crache le néant: les riens qui nous remplissent coulent et nous laissent creux sur les murs.

3 comentários:

Daniela Rodrigues Badra disse...

Olha o charminho ! rsrsr ;-)

Daniela Rodrigues Badra disse...

Mas gostei muito do texto em francês, ficou denso, "encorpado"
Bravo!
Beijos

Cristina Casagrande disse...

Paulo, vai assistir a peça Sinos Imaginários. Talvez vc goste.

Beijos e deixa o sol brilhar feliz!!!